Lerégime alimentaire végétarien peut réduire de 22% le risque de cancer colorectal. Vis-à-vis des cancers, certains aliments constituent des facteurs de risque ou des facteurs protecteurs. Il en est ainsi des fruits et des légumes qui sont associés à une diminution du risque de développer un cancer.
Les complĂ©ments alimentaires sont des aliments apportant sous une forme concentrĂ©e des vitamines, des minĂ©raux et d’autres ingrĂ©dients utilisĂ©s pour leur effet bĂ©nĂ©fique sur l’organisme. Ces aliments font l’objet d’un encadrement rĂ©glementaire strict visant Ă  garantir la sĂ©curitĂ© de leur emploi et la loyautĂ© de l’information donnĂ©e aux consommateurs. Les complĂ©ments alimentaires sont soumis Ă  l’ensemble des dispositions gĂ©nĂ©rales du droit alimentaire mais aussi aux rĂšgles spĂ©cifiques dĂ©finies par la directive 2002/46/CE du Parlement europĂ©en et du Conseil du 10 juin 2002 relative au rapprochement des lĂ©gislations des États membres concernant les complĂ©ments alimentaires, transposĂ©e en droit français par le dĂ©cret n°2006-352. Qu’est-ce qu’un complĂ©ment alimentaire ? Les complĂ©ments alimentaires sont des denrĂ©es alimentaires dont le but est de complĂ©ter le rĂ©gime alimentaire normal et qui constituent une source concentrĂ©e de nutriments ou d'autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinĂ©s, commercialisĂ©s sous forme de doses, Ă  savoir les formes de prĂ©sentation telles que les gĂ©lules, les pastilles, les comprimĂ©s, les pilules et autres formes similaires, ainsi que les sachets de poudre, les ampoules de liquide, les flacons munis d'un compte-gouttes et les autres formes analogues de prĂ©parations liquides ou en poudre destinĂ©es Ă  ĂȘtre prises en unitĂ©s mesurĂ©es de faible quantitĂ©. Les 3 composantes qui caractĂ©risent les complĂ©ments alimentaires Leur objectif Ces produits complĂštent le rĂ©gime alimentaire. Ils ne viennent donc pas se substituer aux aliments courants. Leurs apports nutritionnels s’ajoutent aux apports issus de l’alimentation courante, y compris ceux provenant des aliments enrichis. Leur composition Ces produits sont essentiellement constituĂ©s d’ingrĂ©dients ayant un effet nutritionnel ou physiologique plantes, nutriments, autres substances
. A la diffĂ©rence des aliments classiques, les complĂ©ments alimentaires ne sont pas constituĂ©s d’une matrice alimentaire c’est-Ă -dire d’une structure physique complexe associant notamment des macronutriments glucides, lipides et protĂ©ines. Leur prĂ©sentation Ces produits sont vendus sous la forme de doses, ce qui implique de dĂ©finir une unitĂ© de prise. Cette unitĂ© de prise doit ĂȘtre mesurable et de faible quantitĂ©, comparativement aux quantitĂ©s d’aliments consommĂ©es habituellement. Les complĂ©ments alimentaires sont donc des aliments prĂ©sentĂ©s sous une forme prĂ©-dosĂ©e. Ils ne doivent pas pouvoir ĂȘtre confondus avec d’autres denrĂ©es alimentaires ex. tisane, bonbon, boissons
 afin de ne pas induire en erreur le consommateur sur la nature et les qualitĂ©s du produit. Bien que similaires dans leur format, les complĂ©ments alimentaires ne sont pas mĂ©dicaments. DestinĂ©s Ă  la population gĂ©nĂ©rale, en bonne santĂ©, ils n’ont pas vocation Ă  remplacer un traitement mĂ©dical. Attention ! Compte tenu de leurs caractĂ©ristiques, les complĂ©ments alimentaires ne sont pas des produits anodins. Ils peuvent prĂ©senter des risques en cas de mĂ©susage. Il convient donc de bien respecter les conseils d’utilisation. Il est Ă©galement conseillĂ© de porter la plus grande attention aux cumuls de consommation par exemple lorsque plusieurs complĂ©ments alimentaires sont consommĂ©s de maniĂšre concomitante et aux interactions potentielles avec d’autres produits mĂ©dicaments. L’avis d’un professionnel de santĂ© est fortement recommandĂ© pour les femmes enceintes et allaitantes, les enfants et les adolescents, les personnes sous traitement mĂ©dical. Les ingrĂ©dients des complĂ©ments alimentaires Les complĂ©ments alimentaires sont des aliments concentrant des ingrĂ©dients actifs », utilisĂ©s pour leur rĂŽle nutritionnel ou physiologique. Ils peuvent Ă©galement contenir des amĂ©liorants alimentaires, c’est-Ă -dire des ingrĂ©dients non actifs » utilisĂ©s pour des fonctions technologiques ou d’aromatisation. L’article 4 du dĂ©cret n°2006-352 du 20 mars 2006 relatif aux complĂ©ments alimentaires stipule que seuls peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour la fabrication des complĂ©ments alimentaires Les nutriments dĂ©finis au 2° de l’article 2, c’est-Ă -dire les vitamines et les minĂ©raux ; Les substances Ă  but nutritionnel ou physiologique dĂ©finis au 3° de l’article 2, c’est-Ă -dire les substances chimiquement dĂ©finies autres que vitamines et minĂ©raux ; Les plantes et les prĂ©parations de plantes dĂ©finies au 4° de l’article 2, incluant tous les vĂ©gĂ©taux au sens large champignons, algues, microalgues
 ; Les autres ingrĂ©dients dont l’utilisation en alimentation humaine est traditionnelle ou reconnue comme telle au sens du rĂšglement UE n°2015/2283 relatif aux nouveaux aliments, ou autorisĂ©s conformĂ©ment Ă  ce rĂšglement ; Les additifs, les arĂŽmes et les auxiliaires technologiques dont l’emploi est autorisĂ© en alimentation humaine. Bon Ă  savoir Des rĂšgles spĂ©cifiques sont prĂ©vues pour les ingrĂ©dients actifs » les nutriments ; les substances Ă  but nutritionnel ou physiologique ; les plantes au sens large incluant les algues, les lichens, les champignons, les autres plantes. Quel Ă©tiquetage des complĂ©ments alimentaires ? Les complĂ©ments alimentaires Ă©tant une catĂ©gorie dĂ©finie de denrĂ©e alimentaire, leur Ă©tiquetage doit rĂ©pondre aux dispositions gĂ©nĂ©rales applicables aux aliments, notamment le rĂšglement UE n°1169/2011 dit INCO, ainsi qu’aux dispositions qui leur sont spĂ©cifiquement applicables. Il en rĂ©sulte une sĂ©rie de mentions obligatoires visant Ă  aider le consommateur Ă  faire des choix de maniĂšre avisĂ©e. Les allĂ©gations nutritionnelles et de santĂ© mises en Ɠuvre dans les communications Ă  caractĂšre commercial doivent ĂȘtre conformes aux dispositions du rĂšglement CE n° 1924/2006. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, ces allĂ©gations ne doivent pas induire en erreur le consommateur. En outre, l’étiquetage des complĂ©ments alimentaires, leur prĂ©sentation et la publicitĂ© qui en est faite ne doit pas attribuer Ă  ces produits des propriĂ©tĂ©s de prĂ©vention, de traitement ou de guĂ©rison d’une maladie humaine, ni Ă©voquer ces propriĂ©tĂ©s. Il leur est Ă©galement interdit de faire rĂ©fĂ©rence au rythme ou Ă  l’importance de la perte de poids ex. Perdez 3 kilos en 10 jours ». Tout savoir sur l'Ă©tiquetage des complĂ©ments alimentaires SĂ©curitĂ© et qualitĂ© des complĂ©ments alimentaires Les complĂ©ments alimentaires sont soumis Ă  des normes de qualitĂ© Ă©levĂ©es dont l’objectif est d’assurer en premier lieu la sĂ©curitĂ© des produits mis sur le marchĂ© mais aussi la loyautĂ© des informations donnĂ©es aux consommateurs sur les caractĂ©ristiques de ces produits. La sĂ©curitĂ© sanitaire fait l’objet d’un corpus trĂšs fourni au niveau europĂ©en. Ainsi, les obligations gĂ©nĂ©rales du droit alimentaire, dĂ©finies notamment par le rĂšglement CE n°178/2002, s’imposent aux entreprises du secteur des complĂ©ments alimentaires sĂ©curitĂ© prĂ©vention et suivi des produits, conformitĂ© auto-contrĂŽles, traçabilitĂ©, coopĂ©ration, loyautĂ© des transactions, information des consommateurs. Les entreprises intervenant dans la fabrication de complĂ©ments alimentaires, quelles que soient leurs activitĂ©s, sont Ă©galement soumises aux dispositions gĂ©nĂ©rales du paquet hygiĂšne » et Ă  tous les textes qui en dĂ©coulent. Ces textes imposent en particulier des bonnes pratiques d’hygiĂšne ainsi que l’application des principes HACCP. Tout savoir sur les rĂšgles d'hygiĂšne En matiĂšre de sĂ©curitĂ© sanitaire, les complĂ©ments alimentaires doivent enfin rĂ©pondre aux nombreuses dispositions applicables aux aliments critĂšres microbiologiques, contaminants chimiques, amĂ©liorants alimentaires. Des seuils particuliers sont Ă©tablis, dans certains cas, pour ces produits ex. mĂ©taux lourds. Ces dispositions sont prĂ©sentĂ©es sur le site de la Commission europĂ©enne dĂ©diĂ© Ă  la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments. Le droit national vient complĂ©ter et enrichir ce corpus. En effet, la France a adoptĂ© des dispositions spĂ©cifiques pour l’emploi de certains ingrĂ©dients plantes, nutriments et autre substances qui renforcent les exigences sanitaires par le biais de seuils ou d’avertissements devant figurer sur les Ă©tiquetages cf. ci-dessus. Ces dispositions prĂ©cisent Ă©galement les informations que doivent dĂ©tenir les opĂ©rateurs afin de prouver la qualitĂ© des ingrĂ©dients mis en Ɠuvre. La dĂ©claration de mise sur le marchĂ© des complĂ©ments alimentaires Afin de pouvoir commercialiser un complĂ©ment alimentaire, celui-ci doit obligatoirement ĂȘtre dĂ©clarĂ© Ă  la DGCCRF, conformĂ©ment aux exigences des articles 15 et 16 du dĂ©cret n°2006-352. Contenu Toute dĂ©claration doit comporter un Ă©tiquetage lisible ainsi que des informations permettant de juger de la recevabilitĂ© de la demande au regard des exigences des articles 15 et 16. La nature des ingrĂ©dients Ă  but nutritionnel ou physiologique ainsi que la composition du complĂ©ment alimentaire dĂ©clarĂ© sont des informations essentielles. Les dĂ©clarations fondĂ©es sur l’article 16 doivent en outre comporter une preuve permettant de mettre en Ɠuvre la reconnaissance mutuelle. ModalitĂ©s Depuis le 26 avril 2016, la dĂ©claration est envoyĂ©e Ă  la DGCCRF au moyen du tĂ©lĂ©service dĂ©diĂ©, TĂ©lĂ©icare. Liste des complĂ©ments alimentaires dĂ©clarĂ©s par TĂ©lĂ©icare La liste des complĂ©ments alimentaires dĂ©clarĂ©s depuis le 26 avril 2016 par le biais de TĂ©lĂ©icare est disponible ici. Deux possibilitĂ©s sont offertes pour consulter cette liste TĂ©lĂ©charger la liste complĂšte format XML Rechercher un produit par son nom, sa marque ou l’entreprise figurant sur l’étiquetage. Bilans La DGCCRF reçoit et traite en moyenne plus de dĂ©clarations par mois. Bilan 2017 - Pdf, Mo La nutrivigilance Les effets indĂ©sirables susceptibles d’ĂȘtre liĂ©s Ă  la consommation d’un complĂ©ment alimentaire font l’objet d’un signalement par les professionnels de santĂ©. Ces signalements sont envoyĂ©s Ă  l’Anses qui Ă©valuent notamment l’imputabilitĂ© des effets constatĂ©s. D'avantage d’informations sur la nutrivigilance sont disponibles sur le site de l’Anses. RĂ©glementation en vigueur Les complĂ©ments alimentaires sont des denrĂ©es alimentaires et sont donc soumis aux obligations gĂ©nĂ©rales du droit alimentaire et aux rĂšgles qui en dĂ©coulent. Cela signifie que les rĂšgles en matiĂšre de sĂ©curitĂ© alimentaire rĂšglement 178/2002, paquet hygiĂšne
, de composition nouveaux aliments, paquet amĂ©liorants, rĂšglement 1925/2006
 et d’information rĂšglement 1169/2011, rĂšglement 1924/2006
 s’appliquent Ă  ces produits. En outre, s’appliquent des dispositions sectorielles dĂ©coulant en partie du droit europĂ©en. Au niveau europĂ©en, les complĂ©ments alimentaires sont soumis Ă  la directive 2002/46/CE du parlement europĂ©en et du conseil du 10 juin 2002 relative au rapprochement des lĂ©gislations des Etats membres concernant les complĂ©ments alimentaires. Au niveau national, les complĂ©ments alimentaires doivent rĂ©pondre aux dispositions spĂ©cifiques du dĂ©cret n° 2006-352 du 20 mars 2006 relatif aux complĂ©ments alimentaires, transposant la directive du 10 juin 2002, et aux dispositions des arrĂȘtĂ©s pris pour son application. À ce jour, les arrĂȘtĂ©s suivants ont Ă©tĂ© pris sur la base du dĂ©cret ArrĂȘtĂ© du 9 mai 2006 modifiĂ© relatif aux nutriments pouvant ĂȘtre employĂ©s dans la fabrication des complĂ©ments alimentaires ; ArrĂȘtĂ© du 24 juin 2014 Ă©tablissant la liste des plantes, autres que les champignons, autorisĂ©es dans les complĂ©ments alimentaires et les conditions de leur emploi ; ArrĂȘtĂ© du 26 septembre 2016 Ă©tablissant la liste des substances Ă  but nutritionnel ou physiologique autorisĂ©es dans les complĂ©ments alimentaires et les conditions de leur emploi. Liens utiles
Alimentation Globalement, la fouine est omnivore, l'essentiel de son rĂ©gime alimentaire est surtout constituĂ© de fruits et de baies : Baies de genĂ©vrier, cerise, arbouses, mĂ»res, THEME 1 POURQUOI NOUS AVONS BESOIN DE BIEN MANGER NOTES SUR LA NUTRITION De bons repasPrendre de bons repas, en particulier avec la famille et les amis, est un des plaisirs de la vie. Nous savons tous que les personnes dont le rĂ©gime alimentaire est sain et Ă©quilibrĂ© ont toutes les chances d'avoir beaucoup d'Ă©nergie pour travailler et profiter de la vie; moins d'infections et d'autres maladies. Les enfants qui mangent bien ont en gĂ©nĂ©ral une bonne croissance, et normalement les femmes qui mangent bien ont des bĂ©bĂ©s en bonne santĂ©. C'est pourquoi il est important de savoir quelles associations d'aliments constituent de bons repas et quels sont les besoins alimentaires particuliers des diffĂ©rents membres de la famille. Les aliments et les nutriments Les aliments fournissent des nutriments qui nous permettent de grandir, d'ĂȘtre actifs et en bonne santĂ© Un aliment fournit des nutriments, c'est-Ă -dire des substances qui procurent des calories pour l'activitĂ©, la croissance et toutes les fonctions de l'organisme, telles que la respiration, la digestion et le maintien de la tempĂ©rature; des Ă©lĂ©ments pour la croissance et l'entretien de l'organisme, et pour le maintien d'un bon systĂšme immunitaire. Il existe de nombreux nutriments diffĂ©rents. On les divise en deux catĂ©gories Les macro gros nutriments, dont nous avons besoin en grandes quantitĂ©s. Ce sont les glucides amidons, sucres et fibres alimentaires; les lipides, dont il existe plusieurs sortes voir l'encadrĂ© 4; les protĂ©ines, qui comptent des centaines de types diffĂ©rents. Les micro petits nutriments, dont nous avons besoin en faibles quantitĂ©s. Il existe beaucoup de micronutriments, mais ceux qui risquent le plus d'ĂȘtre insuffisants dans le rĂ©gime alimentaire sont les minĂ©raux, tels que le fer voir l'encadrĂ© 6 Ă  la page 24, l'iode et le zinc; les vitamines, comme la vitamine A, les vitamines du groupe B entre autres le folate et la vitamine C. ENCADRÉ 4 LIPIDES, ACIDES GRAS ET CHOLESTÉROL Les graisses et les huiles constituent une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras essentiels nĂ©cessaires Ă  la croissance et Ă  la santĂ©. Elles favorisent l'absorption de certaines vitamines, par exemple la vitamine A, et rendent les repas plus savoureux. Certains aliments gras/huileux renferment des vitamines importantes. Les graisses et les huiles contiennent diffĂ©rents nutriments lipidiques», entre autres les acides gras insaturĂ©s, les acides gras saturĂ©s, les acides gras trans et le cholestĂ©rol. Les acides gras insaturĂ©s Parmi les acides gras insaturĂ©s, deux sont appelĂ©s acides gras essentiels» parce que l'organisme ne peut pas les fabriquer. Ils sont nĂ©cessaires Ă  l'Ă©laboration des cellules, en particulier celles du cerveau et du systĂšme nerveux. Les acides gras insaturĂ©s contiennent un groupe d'acides appelĂ©s acides gras omĂ©ga-3», qui contribuent Ă  protĂ©ger l'organisme des maladies de cƓur. Les aliments qui contiennent principalement des acides gras insaturĂ©s sont par exemple la plupart des huiles vĂ©gĂ©tales, les arachides, le soja, les graines de tournesol, les graines de sĂ©same et autres graines olĂ©agineuses, les poissons gras et les avocats. Les aliments riches en acides gras omĂ©ga-3 sont les poissons de mer gras et certaines graines et lĂ©gumineuses, telles que les graines de lin et le soja. Les acides gras saturĂ©s Les aliments qui contiennent essentiellement des acides gras saturĂ©s sont par exemple le beurre, le ghee, le saindoux/la graisse de cuisine, le lait entier, le fromage, le gras de la viande ou des produits carnĂ©s saucisses, par exemple et de la volaille, l'huile de palme rouge et la noix de coco. Les acides gras trans Quand on fait subir un traitement aux huiles vĂ©gĂ©tales pour les rendre plus compactes par exemple pour les utiliser dans la margarine ou autres matiĂšres grasses solides, certains acides gras insaturĂ©s sont transformĂ©s en acides gras trans. Ces derniers se comportent comme des acides gras saturĂ©s. Nous devrions consommer le moins possible d'aliments contenant des acides gras trans. Les aliments qui contiennent des acides gras trans sont par exemple la margarine et le saindoux graisse de cuisine, les aliments frits tels que les pommes de terre frites et autres fritures, les aliments frits du commerce comme les beignets, ainsi que les aliments rĂŽtis, les biscuits, les gĂąteaux et les crĂšmes glacĂ©es. Le cholestĂ©rol Le cholestĂ©rol ne se trouve que dans les aliments d'origine animale, mais l'organisme peut le fabriquer Ă  partir d'autres nutriments lipidiques. Nous avons besoin de cholestĂ©rol pour que notre organisme se dĂ©veloppe et fonctionne bien. Il existe deux sortes de cholestĂ©rol dans le sang le bon» cholestĂ©rol et le mauvais» cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de bon cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă  forte densitĂ© semble rĂ©duire le risque de maladies de cƓur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des acides gras insaturĂ©s tend Ă  accroĂźtre le taux de bon cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de mauvais cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă  faible densitĂ© semble accroĂźtre le risque de maladies de cƓur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des graisses saturĂ©es tend Ă  accroĂźtre le taux de mauvais cholestĂ©rol. Les besoins en lipides Les besoins en lipides sont exprimĂ©s en pourcentage des besoins Ă©nergĂ©tiques totaux» voir le tableau 4 Ă  l'annexe 2. Le pourcentage de l'Ă©nergie totale qui devrait provenir des matiĂšres grasses dans un rĂ©gime alimentaire sain et Ă©quilibrĂ© est le suivant de 30 Ă  40 pour cent pour les enfants qui reçoivent une alimentation complĂ©mentaire et jusqu'Ă  l'Ăąge de deux ans; de 15 Ă  30 pour cent pour les enfants plus ĂągĂ©s et la plupart des adultes; un taux maximal de 35 pour cent est acceptable pour des adultes actifs; au moins 20 pour cent et jusqu'Ă  30 pour cent pour des femmes en Ăąge de procrĂ©er de 15 Ă  45 ans. Autrement dit, le rĂ©gime alimentaire d'une femme en Ăąge de procrĂ©er, qui a besoin d'environ 2 400 kcal par jour, devrait contenir entre 480 et 720 kcal provenant de matiĂšres grasses ou d'huile, soit l'Ă©quivalent de 53 Ă  80 g d'huile pure entre 11 et 16 cuillerĂ©es Ă  cafĂ©. Les graisses prĂ©sentes dans un repas n'ont pas toutes Ă©tĂ© ajoutĂ©es lors de la prĂ©paration de ce repas; une partie d'entre elles est cachĂ©e dans des aliments tels que la viande, le lait, les arachides, les graines olĂ©agineuses et les aliments frits. Les lipides et la santĂ© Il est recommandĂ© que moins d'un tiers des lipides prĂ©sents dans le rĂ©gime alimentaire le soit sous forme d'acides gras saturĂ©s. L'huile de palme rouge et les noix/l'huile de coco sont riches en acides gras saturĂ©s. Cependant, Ă  l'inverse d'autres aliments de ce type, elles ne semblent pas augmenter le risque de maladies coronariennes. Par exemple, une consommation raisonnable de noix de coco semble ĂȘtre acceptable, Ă  condition que l'on mange le moins possible d'autres aliments ayant une forte teneur en acides gras saturĂ©s. C'est notamment le cas lorsque le mode de vie dans son ensemble diminue le risque de maladies de cƓur. Un tel mode de vie peut comporter, par exemple, une activitĂ© physique assez intense, une consommation importante de poisson, de lĂ©gumes et de racines et tubercules, peu de sel, et peu ou pas de tabac et d'alcool. L'huile de palme rouge est Ă©galement une bonne source d'autres nutriments importants, tels que la vitamine A et la vitamine E. Dans l'idĂ©al, les acides gras trans devraient fournir moins de 1 pour cent de l'apport Ă©nergĂ©tique total ou pas plus de 2 g pour la plupart des adultes. Pour de nombreuses familles, cela signifie qu'elles devraient consommer, chaque fois que possible, davantage d'aliments riches en acides gras insaturĂ©s par exemple, des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale et des poissons de mer gras, moins d'aliments Ă  forte teneur en acides gras saturĂ©s et beaucoup moins d'aliments Ă  forte teneur en acides gras trans. Les aliments riches en acides gras insaturĂ©s sont meilleurs pour le cƓur que les aliments Ă  forte teneur en acides gras saturĂ©s ou en acides gras trans Notre organisme utilise divers nutriments de façons diffĂ©rentes, comme l'indique l'encadrĂ© 5. ENCADRÉ 5 RÔLES IMPORTANTS DE CERTAINS NUTRIMENTS Nutriments RĂŽle principal dans l'organisme Macronutriments Glucides - amidon et sucres Fournir l'Ă©nergie nĂ©cessaire Ă  la respiration et la vie, Ă  la mobilitĂ© et la chaleur, et Ă  l'Ă©laboration et rĂ©paration des tissus. Une certaine quantitĂ© d'amidon et de sucres se transforme en tissus adipeux. Glucides - fibres alimentaires Ramollir les matiĂšres fĂ©cales et en augmenter le volume. Les fibres absorbent les substances nocives, ce qui contribue Ă  garder l'intestin en bon Ă©tat. Elles ralentissent la digestion et l'absorption des nutriments dans les repas, et contribuent Ă  prĂ©venir l'obĂ©sitĂ©. Lipides Constituer une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras nĂ©cessaires Ă  la croissance et la santĂ©. Les lipides favorisent l'absorption de certaines vitamines, telles que la vitamine A. ProtĂ©ines Fabriquer les cellules, les liquides de l'organisme, les anticorps et autres parties du systĂšme immunitaire. Les protĂ©ines servent parfois Ă  fournir de l'Ă©nergie. Eau Constituer les liquides, comme les larmes, la sueur et l'urine, et permettre aux processus chimiques de se produire dans l'organisme. Micronutriments Fer Fabriquer l'hĂ©moglobine, c'est-Ă -dire la protĂ©ine des globules rouges qui apporte l'oxygĂšne aux tissus. Permettre aux muscles et au cerveau de bien fonctionner. Iode Fabriquer les hormones de la thyroĂŻde qui aident Ă  contrĂŽler la façon dont l'organisme fonctionne. L'iode est indispensable au dĂ©veloppement du cerveau et du systĂšme nerveux chez le fƓtus. Zinc Favoriser la croissance et un dĂ©veloppement normal, la reproduction et un bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Vitamine A PrĂ©venir les infections et garantir le bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Maintenir en bon Ă©tat la peau, les yeux et la paroi de l'intestin et des poumons. Favoriser la vision quand la lumiĂšre est faible. Vitamines du groupe B Aider l'organisme Ă  utiliser les macronutriments pour l'Ă©nergie et Ă  d'autres fins. Aider le systĂšme nerveux Ă  bien fonctionner. Folate Renforcer les globules rouges et empĂȘcher les malformations du fƓtus. Vitamine C Aider Ă  l'absorption de certaines formes de fer voir l'encadrĂ© 6. DĂ©truire les molĂ©cules dangereuses les radicaux libres dans l'organisme. Aider Ă  la guĂ©rison des plaies. ENCADRÉ 6 L'ABSORPTION DU FER Le fer qui provient de la viande, du foie et autres abats, de la volaille, du poisson et du lait maternel est bien absorbĂ© dans l'intestin. Le fer provenant des autres types de lait, des Ɠufs, et des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale quels qu'ils soient, est mal absorbĂ©, mais les autres aliments consommĂ©s en mĂȘme temps influent sur l'absorption de ce type de fer. La viande, le poisson et les aliments riches en vitamine C fruits et lĂ©gumes frais augmentent l'absorption de ce type de fer, de sorte que davantage de fer est absorbĂ©. Certains aliments comme les grains entiers de cĂ©rĂ©ales, ou boissons comme le thĂ© ou le cafĂ©, contiennent des antinutriments» par exemple du phytate qui diminuent l'absorption de ce type de fer. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous recevons assez de chaque nutriment et assez de calories est de consommer des aliments variĂ©s. Le thĂšme 3 explique comment associer les aliments pour obtenir de bons repas. L'annexe 1 Ă©numĂšre les sources de chaque nutriment voir les tableaux 1 et 3 et la composition nutritionnelle de diffĂ©rents aliments voir le tableau 2. Les diffĂ©rents types d'aliments Des aliments de types diffĂ©rents contiennent des associations diffĂ©rentes de nutriments Les aliments de base. Ils sont gĂ©nĂ©ralement peu coĂ»teux et fournissent beaucoup d'amidon pour l'Ă©nergie, des protĂ©ines, des micronutriments en particulier certaines vitamines du groupe B et des fibres alimentaires. Entourez d'un cercle les aliments de base utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. CÉRÉALES RACINES ET FRUITS AMYLACÉS MAÏS/FARINE DE MAÏS POMME DE TERRE MIL PATATE DOUCE SORGHO IGNAME FARINE DE BLÉ MANIOC FRAIS RIZ FARINE DE MANIOC PLANTAIN Les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses. Les lĂ©gumineuses sont de bonnes sources de protĂ©ines et elles contiennent des micronutriments et des fibres alimentaires. Les lĂ©gumineuses Ă  forte teneur en graisse et les graines olĂ©agineuses fournissent des lipides. Entourez d'un cercle les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses utilisĂ©es dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LÉGUMINEUSES À FAIBLE TENEUR EN GRAISSE LÉGUMINEUSES À FORTE TENEUR EN GRAISSE ET GRAINES OLÉAGINEUSES NIÉBÉ ARACHIDE POIS PIGEON SOJA HARICOT COMMUN GRAINE DE CITROUILLE LENTILLE GRAINE DE TOURNESOL POIS CHICHE SÉSAME GRAINE DE MELON Le lait. Le lait maternel peut fournir tous les nutriments nĂ©cessaires pendant les six premiers mois de la vie et une proportion utile des nutriments nĂ©cessaires jusqu'Ă  l'Ăąge de 2 ans au moins. Le lait d'origine animale et les produits laitiers, tels que la caillebotte, le yoghourt et le fromage, sont d'excellentes sources de protĂ©ines, de lipides et de nombreux micronutriments, comme le calcium mais pas le fer. Les Ɠufs. Ils constituent une bonne source de protĂ©ines et de lipides, et fournissent plusieurs micronutriments. La viande, la volaille, le poisson et les abats provenant de ces derniers. Ils reprĂ©sentent d'excellentes sources de protĂ©ines et souvent de lipides. Ils fournissent d'importantes quantitĂ©s de fer en particulier la viande rouge et les abats rouges et de zinc, et beaucoup d'autres micronutriments, notamment des vitamines du groupe B. Le foie, de tous types, est trĂšs riche en fer et en vitamine A. Les meilleures sources de fer sont la viande, les abats, la volaille et le poisson Entourez d'un cercle les produits d'origine animale utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LAIT ET ƒUFS VIANDE, ABATS, VOLAILLE ET POISSON LAIT DE VACHE FRAIS BƒUF LAIT DE CHÈVRE FRAIS CHÈVRE CAILLEBOTTE MOUTON YOGHOURT PORC FROMAGE FOIE AUTRES ABATS ƒUFS POULET POISSON FRAIS POISSON SÉCHÉ POISSON EN CONSERVE Les huiles et les graisses. Il s'agit de sources concentrĂ©es d'Ă©nergie. Par exemple, une cuillerĂ©e d'huile de cuisson contient deux fois plus de calories qu'une cuillerĂ©e d'amidon ou une cuillerĂ©e de sucre. Les matiĂšres grasses contiennent des acides gras, dont certains sont nĂ©cessaires Ă  la croissance. Outre les matiĂšres grasses pures» par exemple le beurre et les huiles pures» par exemple l'huile de maĂŻs, les autres bonnes sources de lipides sont les olĂ©agineux, le fromage, la viande grasse et les poissons gras, les avocats et les aliments frits. L'huile de palme rouge est une bonne source de vitamine A. Le sucre. Il ne donne que des calories et n'apporte aucun autre nutriment. Il sert Ă  rendre les aliments plus savoureux et Ă  amĂ©liorer l'appĂ©tit, par exemple pendant la maladie. Cependant, si l'on mange trop souvent des aliments sucrĂ©s, cela peut nuire Ă  la santĂ© pour plusieurs raisons. Les friandises, les aliments qui collent aux dents, ou les collations et pĂątisseries prĂ©parĂ©es avec beaucoup de sucre, de miel ou de sirop, sont mauvais pour les dents quand on en mange trop souvent. De nombreux aliments sucrĂ©s contiennent aussi beaucoup de matiĂšres grasses, ce qui accroĂźt le risque de trop manger» pour les personnes qui devraient limiter leur apport Ă©nergĂ©tique. Les personnes qui mangent souvent des aliments sucrĂ©s ou qui consomment beaucoup de boissons sucrĂ©es, par exemple des sodas boissons pĂ©tillantes en bouteille, ont plus de probabilitĂ©s d'avoir un poids excessif et du diabĂšte. Bien souvent aussi, ces personnes-lĂ  mangent moins des autres aliments plus nutritifs. Il y a beaucoup de sucre dans les bonbons, les sodas, la confiture, les gĂąteaux et les biscuits. Il est mauvais pour les dents de consommer trop d'aliments sucrĂ©s et qui collent Quand on mange trop d'aliments sucrĂ©s, on consomme souvent une plus faible quantitĂ© des autres aliments plus nutritifs Entourez d'un cercle les matiĂšres grasses, les huiles et les sucres utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. MATIÈRES GRASSES HUILES SUCRES BEURRE HUILE DE COCO SUCRE DE TABLE MARGARINE HUILE DE TOURNESOL MIEL GRAS DE VIANDE HUILE D'ARACHIDE CONFITURE GHEE HUILE DE PALME ROUGE SUCRE DE CANNE HUILE DE MAÏS Les lĂ©gumes et les fruits. Ce sont d'importantes sources de micronutriments et de fibres alimentaires, mais leur quantitĂ© varie selon le type de lĂ©gume et de fruit. Les lĂ©gumes orangĂ©s, tels que la patate douce orangĂ©e et les carottes, ainsi que les fruits orangĂ©s, comme la mangue et la papaye, Ă  l'exception des agrumes oranges et citrons, par exemple, sont d'excellentes sources de vitamine A. La plupart des fruits et lĂ©gumes frais pas trop cuits fournissent de la vitamine C. Les lĂ©gumes Ă  feuilles vert foncĂ© apporte Ă  l'organisme du folate et un peu de vitamine A. Beaucoup de lĂ©gumes par exemple, tomates et oignons fournissent d'autres micronutriments importants, qui peuvent protĂ©ger contre certaines maladies chroniques, comme les maladies de cƓur. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous obtenons assez de chaque nutriment et assez de fibres est de manger tous les jours diverses sortes de lĂ©gumes et de fruits. Entourez d'un cercle les lĂ©gumes et les fruits utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LÉGUMES FRUITS TOMATE MANGUE CITROUILLE PAPAYE CAROTTE FRUIT DE LA PASSION ÉPINARD ORANGE AUTRES LÉGUMES FEUILLUS ANANAS PATATE DOUCE ORANGÉE BANANE POIVRON DOUX DATE AUBERGINE GOMBO Les condiments. Tout le monde utilise du sel pour cuisiner, et le sel est prĂ©sent dans beaucoup d'aliments transformĂ©s. Un excĂšs de sel est mauvais pour la santĂ© et peut donner de l'hypertension. Le sel iodĂ© est une source importante d'iode. Les plantes aromatiques, les Ă©pices, l'ail et les oignons sont d'autres condiments qui permettent de rendre les repas savoureux. L'eau. Nous avons besoin d'environ huit verres d'eau par jour, et davantage si nous transpirons ou avons de la fiĂšvre ou la diarrhĂ©e. En plus de l'eau que nous buvons, nous obtenons de l'eau en buvant du thĂ©, du cafĂ© ou des jus de fruits et en mangeant du potage, des fruits et des lĂ©gumes. Les besoins alimentaires de la familleLa quantitĂ© des diffĂ©rents nutriments dont une personne a besoin varie selon l'Ăąge, le sexe et l'activitĂ©, ainsi que de facteurs tels que la menstruation, la grossesse ou l'allaitement au sein. Les besoins varient Ă©galement pendant la maladie et la convalescence. Les besoins nutritionnels des diffĂ©rents membres de la famille sont Ă©numĂ©rĂ©s au tableau 4 Ă  l'annexe 2, et examinĂ©s dans le thĂšme 3 et les thĂšmes 5 Ă  10. METTRE EN COMMUN CES INFORMATIONS Avant d'Ă©changer ces informations avec les familles, il vous faudra peut-ĂȘtre 1 Chercher Ă  savoir quels sont les diffĂ©rents types d'aliments consommĂ©s dans la rĂ©gion et ce que les personnes savent dĂ©jĂ  au sujet des aliments et des nutriments. 2 Etablir des prioritĂ©s dĂ©cider quelles sont les informations les plus importantes Ă  Ă©changer avec les groupes ou les familles individuelles. 3 DĂ©cider qui atteindre par exemple, les parents et d'autres personnes chargĂ©es de soins; les enseignants; les enfants scolarisĂ©s plus ĂągĂ©s ou les jeunes; les responsables de groupements locaux. 4 Choisir les mĂ©thodes de communication par exemple, exposĂ©s avec illustrations, discussions, ou dĂ©monstrations de questions pour entamer une discussion Choisissez seulement une ou deux questions qui traitent des informations dont les familles ont le plus besoin Pourquoi avons-nous besoin de bien manger? Pouvez-vous Ă©numĂ©rer des minĂ©raux et des vitamines importants? Quels nutriments importants trouve-t-on dans les cĂ©rĂ©ales, les lĂ©gumineuses, le lait, la viande? Pourquoi est-il mauvais pour nous de consommer trop de sucre? Pourquoi les lipides prĂ©sents dans les aliments d'origine vĂ©gĂ©tale sont-ils gĂ©nĂ©ralement meilleurs pour la santĂ© que ceux de la margarine ou des aliments vendus dans la rue? Pourquoi avons-nous besoin de fer? Quels sont les aliments qui fournissent le plus de fer? Sivous dĂ©sirez supprimer les produits Ă  base de chair animale, le rĂ©gime vĂ©gĂ©tarien peut tout Ă  fait vous apporter les nutriments essentiels dont vous avez besoin. Le rĂ©gime vĂ©gĂ©talien est
View PDFCommunication brÚveFruits et légumes microbiote et immunité. SynthÚse du workshop de la SFN en partenariat avec Aprifel donné en visioconférence le jeudi 16 décembre 2021Fruits and vegetables Microbiota and immunity. Summary of the SFN workshop in partnership Aprifel given in videoconference on December the 16th, 2021Under a Creative Commons licenseOpen accessMots clésNutritionMicrobiote intestinalImmunitéSantéCited by 0© 2022 The Author. Published by Elsevier Masson SAS on behalf of Société française de nutrition.
Fruitsdont le nom commence par « j ». La jacque, le jujube et le jaboticaba sont les fruits dont les noms commencent par « j ». Également appelĂ©e pomme jacque, la jacque est le fruit du jacquier (Artocarpus heterophyllus). Le jujube, lui, est le fruit du jujubier ( Ziziphus zizyphus ). Or, le jaboticaba ou guapuru est le fruit de Plinia
Un excĂšs de cholestĂ©rol dans le sang constitue un facteur de risque important de maladies cardiovasculaires. ContrĂŽler sa cholestĂ©rolĂ©mie est donc un enjeu essentiel qui passe par l’alimentation. Qu’est-ce qu’un rĂ©gime anticholestĂ©rol et quels aliments sont bons contre le cholestĂ©rol ?© IstockQuel est le principe d’un rĂ©gime anticholestĂ©rol?Pour les personnes qui souffrent d’un taux de cholestĂ©rol trop Ă©levĂ©, modifier son alimentation est primordial. En effet, certains aliments contiennent de mauvaises» graisses susceptibles de faire augmenter le taux de mauvais» cholestĂ©rol LDL. C’est donc bien la qualitĂ© des matiĂšres grasses prĂ©sentes dans votre alimentation qui peut faire la diffĂ©rence. Ainsi, le principe d’un rĂ©gime anticholestĂ©rol est de remplacer au maximum les acides gras saturĂ©s, prĂ©sents principalement dans les viandes grasses, produits transformĂ©s, fritures, viennoiseries ou encore les produits laitiers, par des acides gras aliments sont bons contre le cholestĂ©rol?Parmi les aliments Ă  privilĂ©gier durant un rĂ©gime anticholestĂ©rol, on peut citer ceux riches en omĂ©ga-3 qui ont une action directe sur le bon cholestĂ©rol HDL, comme les poissons gras. Saumon, maquereaux et sardines sont une bonne alternative Ă  la consommation de viande. Pour remplacer le beurre qui occupe une place centrale en cuisine, prĂ©fĂ©rez des huiles vĂ©gĂ©tales comme l’huile de colza, tournesol, raisin et olive. Pois chiches et haricots rouges constituent une excellente source de protĂ©ines et ne contiennent que trĂšs peu d’acides gras saturĂ©s. On augmente sa consommation de fibres, car elles rĂ©duisent l'absorption des NewsletterRecevez encore plus d'infos santĂ© en vous abonnant Ă  la quotidienne de adresse mail est collectĂ©e par pour vous permettre de recevoir nos actualitĂ©s. En savoir plus.
Lecrudivorisme est un régime alimentaire encore appelé "alimentation vivante". Il est basé sur une alimentation crue, non transformée ni modifiée, le plus souvent biologique et sauvage. Ces aliments crus varient selon le mode de vie: des fruits, des légumes, des graines, des noix, des oeufs, des poissons (sushis), de la viande (tartare, carpaccio), des produits laitiers (lait cru
Le rĂ©gime alcalin, c’est quoi ? Alors que le rĂ©gime alcalin gagne de plus en plus d’adeptes, nombreux commencent Ă  s’intĂ©resser aux principes de ce mode d’alimentation dont on ne cesse de vanter les bienfaits. Loin d’ĂȘtre une tendance rĂ©cemment créée, le rĂ©gime alcalin existe depuis longtemps et se focalise sur le rééquilibrage acido-basique de l’organisme humain. En effet, il faut savoir que le bon fonctionnement de notre corps requiert un maintien de l’équilibre acido-basique de nos cellules. Or, le mode de vie occidental, stressant et rythmĂ©, accompagnĂ© de manque de sommeil et d’une mauvaise alimentation, tend Ă  chambouler cet Ă©quilibre vital en acidifiant notre organisme. Cet excĂšs d’aciditĂ© engendre davantage de fatigue, de stress et d’insomnies. C’est lĂ  qu’intervient le rĂ©gime alcalin qui s’évertue Ă  corriger ce problĂšme en chargeant notre alimentation de produits basifiants. Quels sont les bienfaits d’un rĂ©gime alcalin ? Adopter un rĂ©gime alimentaire alcalin, c’est donc viser le bon Ă©quilibre acido-basique de l’organisme. Mais dans quel intĂ©rĂȘt ? Cet Ă©quilibre prĂ©serve notre organisme et lui permet de rĂ©guler la grande majoritĂ© des fonctions mĂ©taboliques. Un trop grand dĂ©sĂ©quilibre va entraĂźner une sĂ©rie de malaises, dont des insomnies, des maux de tĂȘte ou encore des troubles digestifs. En plus de mettre fin Ă  tous ces petits problĂšmes de santĂ©, le rĂ©gime alcalin vous garantit une alimentation saine et Ă©quilibrĂ©e. Comme ce mode alimentaire prĂ©conise, entre autres, une consommation plus importante de lĂ©gumes au dĂ©triment des produits raffinĂ©s et transformĂ©s, l’adopter va aussi favoriser la perte de poids. Etablir le menu quels sont les aliments alcalinisants ? Comme dans tout mode d’alimentation, le rĂ©gime alcalin doit suivre des rĂšgles de consommation bien prĂ©cises, sans toutefois Ă©vincer de votre assiette les aliments considĂ©rĂ©s basifiants. Le marchĂ© regorge d’aliments alcalinisants pour rééquilibrer le pH de l’organisme. Pour que le rĂ©gime alcalin fasse son effet, l’idĂ©al serait de constituer votre menu de maniĂšre Ă  avoir plus d’aliments alcalinisants qu’acidifiants. PrivilĂ©giez pour ce faire la consommation De lĂ©gumes tels que les pommes de terre, les haricots verts, les brocolis, les betteraves, les Ă©pinards et tous les autres lĂ©gumes verts ; D’olĂ©agineux amandes, chĂątaignes, olives ; De fruits bananes, fraises, figues, framboises ; D’épices et de plantes aromatiques. Dans l’ensemble, favoriser la consommation de lĂ©gumes et de fruits au quotidien est l’une des bases du rĂ©gime alcalin. ParallĂšlement, pensez Ă  rĂ©duire votre consommation de sucres raffinĂ©s, d’aliments transformĂ©s, de produits cĂ©rĂ©aliers et laitiers. Attention ! RĂ©duire ne signifie pas s’en priver. En effet, les aliments acidifiants jouent aussi leur rĂŽle dans l’équilibre acido-basique de l’organisme. A lire aussi RĂ©gime Natman peut-on vraiment perdre 4 kg en 4 jours ? RĂ©gime Abura comment fonctionne ce rĂ©gime de star ? Perdre du poids ces 20 aliments du rĂ©gime SirtFood ont aidĂ© AdĂšle Ă  perdre 45 kilos
LingrĂ©dient principal de ce rĂ©gime particulier est donc la viande, Ă  midi et au soir, peu importe qu’elle soit blanche ou rouge, d’agneau, de bƓuf ou de volaille. Vus sa richesse en protĂ©ines, ce rĂ©gime a pour but principal de rĂ©duire la consommation de glucides et de lipides, soit moins de fĂ©culents et moins de sucres. Les
La colite est une inflammation aiguĂ« ou chronique du cĂŽlon. Elle se manifeste par des troubles du transit diarrhĂ©e, constipation, des douleurs abdominales, un ballonnement et parfois de la fiĂšvre. Le traitement de la colite repose essentiellement sur un rĂ©gime alimentaire. Voyons quels aliments permettent de diminuer les symptĂŽmes de la colite.© IstockDigestion les diffĂ©rents types de coliteLes colites peuvent avoir plusieurs origines, elles peuvent ĂȘtre provoquĂ©es par une infection virale, bactĂ©rienne, fongique ou parasitaire ;des mĂ©dicaments antibiotiques, abus de laxatif ;une ischĂ©mie des artĂšres qui irriguent le cĂŽlon ;De mĂȘme, la colite est un des principaux symptĂŽmes de la maladie de Crohn et de la rectocolite hĂ©morragique. Digestion que manger en cas de colite ?Certains aliments sont Ă  Ă©viter pour diminuer les symptĂŽmes de la colite les aliments gras ;les aliments Ă©picĂ©s ou frits ;l'alcool ;le cafĂ© ;les boissons aliments sont en revanche conseillĂ©s le jambon cuit, les viandes maigres et poisson grillĂ©s, le tofu, les fruits de mer ;le lait en poudre, le lait de soja, le beurre frais, les fromages Ă  pĂąte dure ;les haricots, courgettes, pommes de terre, Ă©pinards et carottes cuits Ă  l'eau, les fruits cuits ;les Ɠufs sauf Ɠufs au plat ;les biscottes, le riz, les pĂątes, les flocons d'avoine ;le miel ;l'eau minĂ©rale et le vin rouge de temps en temps.En plus du rĂ©gime alimentaire, il est conseillĂ© de manger doucement et dans un endroit calme afin de faciliter la NewsletterRecevez encore plus d'infos santĂ© en vous abonnant Ă  la quotidienne de adresse mail est collectĂ©e par pour vous permettre de recevoir nos actualitĂ©s. En savoir plus.
u0v72dM. 287 116 482 77 416 232 46 46 36

dont le régime alimentaire est constitué de fruits